L’art de la pantomime est arrivé au Vietnam à la fin du XXe siècle. Depuis, plusieurs pièces d’une grande valeur ont été jouées comme Giâc mo hanh phuc (rêve du bonheur), Nhât nguyêt thuc (éclipse de soleil et de lune), Tâm linh Viêt (âme vietnamienne), Nguyên Du et Kiêu. Cependant, la pantomime reste, à ce jour encore, mal connue du public vietnamien.
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| Une scène dans la pièce "Nguyên Du et Kiêu". |
Qu’importe, ce genre a apporté un nouveau souffle au théâtre vietnamien durant ses dix années de développement. La première pièce Giâc mo hanh phuc, de l’Artiste du Peuple et metteur en scène Lê Hùng, a remporté un grand prix du Festival international du théâtre de 2000 en Chine. Un premier succès qui a inauguré la voie à cet art pour se faire une place dans le théâtre du Vietnam.
En 2005, la troupe de pantomime du Théâtre de la Jeunesse a vu le jour sur une initiative de l’Artiste du Peuple Lan Huong. Elle s’est immédiatement démarquée en alliant théâtre traditionnel vietnamien et art contemporain, notamment avec les pièces Nguyên Du et Kiêu, Tâm linh Viêt. C’est avec elles que Lan Huong a brillamment renouvelé la scène théâtrale en donnant une nouvelle vision, mais aussi une nouvelle perception, d’un théâtre autre que traditionnel inspiré de thèmes classiques.
Il n’en demeure pas moins que peu dans le public sont en mesure d’apprécier le genre, outre qu’il subit les mêmes avatars que ses congénères, notamment une «crise du spectateur». Peu importe, l’un dans l’autre, il lui reste, pour s’affirmer, la même tâche de représenter de grandes oeuvres à mêmes de toucher son public.
En 2005, la troupe de pantomime du Théâtre de la Jeunesse a vu le jour sur une initiative de l’Artiste du Peuple Lan Huong. Elle s’est immédiatement démarquée en alliant théâtre traditionnel vietnamien et art contemporain, notamment avec les pièces Nguyên Du et Kiêu, Tâm linh Viêt. C’est avec elles que Lan Huong a brillamment renouvelé la scène théâtrale en donnant une nouvelle vision, mais aussi une nouvelle perception, d’un théâtre autre que traditionnel inspiré de thèmes classiques.
Il n’en demeure pas moins que peu dans le public sont en mesure d’apprécier le genre, outre qu’il subit les mêmes avatars que ses congénères, notamment une «crise du spectateur». Peu importe, l’un dans l’autre, il lui reste, pour s’affirmer, la même tâche de représenter de grandes oeuvres à mêmes de toucher son public.
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