Aujourd’hui, pour les touristes étrangers, le temple de Ta Prohm est une destination indispensable lors de leur voyage au Cambodge.
Oublié pendant des siècles, encore une fois, Ta Prohm se lève avec des pas de découverte de l’homme du 20ème siècle. Un Ta Prohm de mille ans situé au cœur de la jungle étonne tous les touristes. Le temple – une des merveilles de la civilisation des Khmer – porte aujourd’hui une nouvelle robe. De petits grains de tung et de nia d’autrefois deviennent maintenant des géants avec des centaines de bras embrassant le temple.
De grandes racines ressemblent aux pythons rampant sur le long mur. Certaines plongent dans le sol, traversent facilement le toit, des pierres et le plancher et deviennent des pieux solides du temple. Certaines d’autres broient la pierre en petites pièces. Arrivant à Ta Prohm, les touristes seront surpris par le mariage entre des plants et des pierres. C’est la main habile de la nature qui forme la beauté au milieu de la ruine. On s’arrête, contemple des danseuses Apsara endommagées dans le monument recouvert par la mousse et regrette une époque florissante dans le passé.
De grandes racines ressemblent aux pythons rampant sur le long mur. Certaines plongent dans le sol, traversent facilement le toit, des pierres et le plancher et deviennent des pieux solides du temple. Certaines d’autres broient la pierre en petites pièces. Arrivant à Ta Prohm, les touristes seront surpris par le mariage entre des plants et des pierres. C’est la main habile de la nature qui forme la beauté au milieu de la ruine. On s’arrête, contemple des danseuses Apsara endommagées dans le monument recouvert par la mousse et regrette une époque florissante dans le passé.
En 1186, le temple royal Rajavihara (nom primaire de TaProhm) a été construit par le roi Jayavarman VII. Le temple mesurait 1 km de longueur et 700 m de largueur. Pour construire cette grande œuvre, il fallait 50 mille taëls d’or, 50 mille taëls d’argent et beaucoup de pierres précieuses. L’objectif de cet ensemble était de faire honneur à la famille royale de Jayavarman VII. Il a été utilisé comme un monastère et une école bouddhiste. Le temple a abrité 12.640 personnes dont 18 moines, 2.740 prêtes, 2.232 serveurs et 615 danseuses. Selon l’ordre du roi, 260 statues, 39 tours, 566 maisons en pierre, 286 maisons en brique et 3.140 villages ont été établis au service du temple. Le temple est un grand trésor avec 5 tonnes d’assiette et de bol d’or, 512 lits, 524 parasols, 40 mille perles, 35 diamants et 4.540 jades. De nos jours, l’auréole de la dynastie de Jayavarman ne reste qu’une ruine sous l’ombre de la jungle tropicale. Ta Prohm a la forme d’un temple « plat », une forme très familière de la plupart des temples des Khmer avec 5 murs entourant le temple et la porte se tournant vers l’est. Par rapport à d’autres temples, Ta Prohm possède peu de relief, ce qui s’explique par la destruction des personnes contre des statues hindouistes.
Le reste du régime de Jayavarman attire chaque année des millions de touristes venant de tous les coins du monde. Lié à la gloire de Ta Prohm est le « Tombeau de la reine » situé dans le temple construit pour la mère du roi. Selon la légende, le tombeau est entouré de quatre murs sertis des diamants. Dans les nuits de pleine lune, les diamants réfléchissent les rayons lumineux et la salle éclaire brillamment. Tous ces bijoux ont été enlevés par les envahisseurs au 13ème siècle.
Le mystère et la beauté séduisante de Ta Prohm apportent aux touristes de différentes impressions et rendent leur voyage au Cambodge plus occulte. Entrant dans le temple, un lieu sauvage s’ouvre. Des chants mélodieux, des danses souples se cachent sous les murs…
Le mystère et la beauté séduisante de Ta Prohm apportent aux touristes de différentes impressions et rendent leur voyage au Cambodge plus occulte. Entrant dans le temple, un lieu sauvage s’ouvre. Des chants mélodieux, des danses souples se cachent sous les murs…
Thuy Linh
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