Si vous arrivez à Duong Lam, ne vous hâtez pas de
le quitter, passez une nuit dans ce village pour savourer sa tranquillité et sa
pureté.
Un après-midi, je fais du vélo à Duong Lam, à
environ 50km d’Hanoï. Différent du bruit des motos sur les toutes nationales,
le vélo a son propre attraction. Pas d’hâte, juste des roues roulant lentement.
Il fait assez beau avec du vent léger et du soleil clair. A travers de nombreux
champs et villages de métier, j’arrive finalement à Son Tay. Et après deux
heures à vélo, je vois l’ancien village de Mong Phu. De loin, apparaît l’image
de la porte du village. Les gens qui viennent à Duong Lam pour la première
fois, en voyant sa porte à côté du banian, peuvent facilement le recevoir. Pour
les hommes fréquentent ce village, ils s’arrêtent certainement quelques moments
au loin pour admirer sa beauté.
Conduire le vélo de façon zigzagante est une
expérience intéressante. Les roues flottent sur le chemin de briques et suivent
un groupe d’élèves. Le chemin de ce village a une forme de squelette du poisson
dont les ruelles se communiquent. Vous pouvez partez de n’importe quelle
ruelle, mais la destination finale est toujours le chemin principal du village.
Des chemins de briques ont été construits depuis longtemps en raison d’une
coutume traditionnelle : un homme, s’il veut se marier, il faux paver un
chemin avec des briques. Après chaque mariage, un nouveau chemin est né.
Je prends visite une maison célèbre pour le che
lam (bonbon de riz grillé) et le tuong ban (sauce de soja). Dans la large
maison, des pergolas s’élancent pour se féliciter du soleil. Dans la cours,
plus de dix jarres de sauce de soja font la queue. Des clients, s’assoyant sur
le grabat en bambou, goûtant le che lam et prenant du thé chaud ont l’air très
content.
Un autre nom de Duong Lam est Ke Mia et il possède
une pagode appelée la pagode de Mia (village de Dong Sang). Il s’agit la pagode
dont le nombre de statues bouddhistes est le plus grand au Vietnam, ce qui a
été reconnu record du Vietnam. Parmi les 287 statues, la plus marquante est
celle de déesse de la Miséricorde.
Je fais une pause dans un hangar près de la maison
commune de Mong Phu. Un grabat en bambou, gâteaux de riz non gluant, bonbons d’arachide,
bonbons de riz grillé, etc. Des rayons de soleil traversent l’épais feuillage,
le vélo appuyant sur le tronc du banian, le vieux vendeur agite légèrement son
éventail, tout forme une scène paisible campagne. Cette nuit, je passe une nuit dans une maison
simple pour me prolonger dans la tranquillité de cet ancien village.
Vietnam Original Travel
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